jeudi 27 août 2020

Street art

samedi 3 juin 2017

2014

24 juin 2016

mardi 21 janvier 2014

Une tranche de saucisson

 
Sur carnet de croquis 12 x 24 cm, liner et aquarelle
Afficher l'album
Cet album comporte 1 photo et restera disponible sur SkyDrive jusqu'au 21/04/2014.
Cliquez ou faite glisser les photos ici pour les ajouter à cet album sur SkyDrive.        

mercredi 1 janvier 2014

La marche, un sport aux mille atouts...

La marche, mon nouveau sport aux mille atouts...

La marche est une activité physique dont les bienfaits sont sous-estimés.

C'est au XIXe siècle qu'est apparue la randonnée en tant que loisir ou sport. Auparavant, on ne marchait que lorsqu'on y était obligé, pour le travail ou les voyages. Aujourd'hui, la marche est fortement concurrencée par la course et le vélo, qui demandent plus d'énergie et donc permettent de se fatiguer plus rapidement.

La marche est pourtant un sport à part entière. Elle a même tant d'avantages qu'elle peut-être considérée comme l’un des meilleurs sports qui soient.

Un sport complet

La marche est un sport complet, qui repose sur un mécanisme à double balancier composé des jambes et des bras.

Pour marcher, il faut effectuer le cycle suivant : se mettre en position debout et basculer le corps en avant, ce qui provoque un mouvement de chute, rattrapé par la projection d'une jambe vers l'avant.

Le bassin est alors soumis naturellement à une rotation car ce mouvement se fait en appui sur la jambe opposée.

C'est pour contrecarrer cette rotation que les bras effectuent un mouvement inverse à celui des jambes, permettant au bassin de conserver le même axe, et donc de marcher droit.

Puis, pour rattraper le mouvement de chute tant que dure la marche, la jambe arrière est à son tour projetée en avant en utilisant son énergie potentielle, pendant que les bras effectuent le mouvement inverse, également en utilisant leur énergie potentielle.

Le cycle recommence et la marche ne s'arrête que par un redressement du corps.

Après plusieurs heures de marche, on peut toutefois se sentir le dos raide, les épaules ankylosées. On s'arrêtera régulièrement pour faire des étirements, en particulier du dos et des bras pour éviter cette gêne.

Indispensable à la santé

Selon les études de l'Organisation Mondiale de la Santé, l'activité physique minimum est de 20 minutes par jour pour maintenir un "bon état de santé".

Une équipe internationale de 14 chercheurs a montré que le nombre de pas recommandés par jour est de 12 000 pour les femmes âgées de 18 à 40 ans, 11 000 pour les femmes entre 40 et 50 ans, 10 000 de 50 à 60 ans, et 8 000 à partir de 60 ans. Les hommes de 18 à 50 ans devraient faire 12 000 pas par jour, et 11 000 pas à partir de 50 ans, soit 8 à 10  kilomètres par jour pour garder un poids idéal [1].

La marche à pied est d'ailleurs un sport particulièrement indiqué pour les personnes souffrant de douleurs chroniques, de fibromyalgie ou d'arthrose.

Protection de l'environnement

La marche à pied ne provoque pas de pollution, ne fait pas de bruit, ne nécessite pas de moteur ni d'installations particulières. On peut en général se rendre au départ de la promenade en transport en commun.

En toute saison

La marche à pied se pratique en toute saison. L'effort qu'elle demande réchauffe le corps et on n'a donc jamais froid quand on marche. Il suffit d'un ciré, de bottes et d'un parapluie en cas de mauvais temps, d'un bonnet, d'une écharpe, de moufles et de chaussures fourrées à semelles épaisses en cas de grand froid, et l'on marchera sans problème plusieurs heures.

Sécurité

Le risque d'accident est faible à partir du moment où l'on est équipé de bonnes chaussures et où l’on ne s'aventure pas sur des terrains dangereux.

Découverte, observation, réflexion

La marche, par son rythme lent, libère l'esprit. Elle permet de découvrir son environnement, d'observer les paysages et la nature par la vue, l'ouïe et l'odorat.

Elle vous mène dans des endroits inaccessibles par les autres moyens de transport.

Elle oxygène le cerveau, favorisant la réflexion. Une des premières écoles de philosophie, l'école « péripatéticienne » fondée par Aristote en 335 av J.C. à Athènes, réunissait des élèves qui marchaient au côté de leur maître. L'adjectif péripatéticien signifie en grec « ce qui se fait en marchant ».

Depuis, de nombreuses œuvres littéraires, poétiques et philosophiques ont été composées en marchant, dont les célèbres « Rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau.

Amitié

La marche est un sport qui favorise l'amitié. Deux marcheurs peuvent parler longuement sans s'essouffler. Une marche à pied dure assez longtemps pour permettre les échanges profonds, les confidences. La position côte à côte, et non face à face comme au café par exemple, facilite la conversation et réduit les risques de gêne et d'affrontement. 

Sans oublier sa Gratuité...
C'est donc une activité à favoriser et à faire découvrir aux enfants dès le plus jeune âge. Cela demande parfois de la persuasion, beaucoup d'enfants étant convaincus de ne pas aimer marcher, mais les emmener sur de petits sentiers variés et serpentant entre les arbres, les rochers et les fougères les amuse au plus haut point, surtout en groupe. 

dimanche 8 décembre 2013

Eve pose ischiatique

Eve pose ischiatique pendant 20 mn - Cette posture est déterminée par la ligne des épaules inclinée dans le sens opposé à celles des hanches quand le poids du corps repose sur une seule jambe.
Avec une petit cube d'éponge de 2 cm de côté, les masses ont été posées au brou de noix, à l'encre et l'acrylique à l'éponge et aux doigts sur carton 14 x 30 cm puis quelques traits au liner et à la plume pour calligraphie.

samedi 30 novembre 2013

Lettre d’une infirmière qui meurt


Lettre anonyme écrite en 1970 et parue dans le livre d'Elisabeth Kübler-Ross : la mort dernière étape de la croissance. Editions du Rocher. 1985
    Je suis une élève infirmière et je suis en train de mourir. J'écris cette lettre pour vous toutes qui vous préparez à devenir infirmières, dans l'espoir de vous faire partager ce que je ressens, afin qu'un jour vous soyez peut-être mieux capables d'aider les mourants.   J'ai encore entre un et six mois à vivre, un an peut-être, mais personne n'aime aborder ce sujet. Je me trouve donc en face d'un mur qui est tout ce qui me reste. Personne ne veut voir le malade mourant en tant qu'être humain et par conséquent ne peut communiquer avec moi.   Je suis le symbole de votre peur, de ce que nous savons pourtant que nous devrons tous affronter un jour. Ne nous disait-on pas, dans les cours de psychologie, que si on approche  la pathologie du mourant avec sa propre pathologie, cela ne peut que nuire à la relation d'accompagnement ? Et que pour pouvoir être au clair avec l'autre, il faut connaître ses propres sentiments ?   Vous vous glissez dans ma chambre pour me porter mes médicaments ou prendre ma tension, et vous vous éclipsez une fois votre tâche accomplie. Est-ce par ce que je suis élève infirmière que j'ai conscience de votre peur et sais qu'elle accroît la mienne ? Pourquoi avez-vous peur ? Après tout, c'est moi qui meurs !   J'ai conscience de votre malaise, que vous ne savez que dire ni que faire. Mais croyez-moi, vous ne pouvez pas vous tromper en montrant de la chaleur humaine. Laissez-vous toucher. C'est de cela que nous avons besoin, nous les mourants. Nous pouvons vous poser des questions sur l'après et le pourquoi, mais nous n'attendons pas vraiment de réponse. Ne vous sauvez pas, j'ai simplement besoin de savoir qu'il y aura quelqu'un pour me tenir la main, le moment venu. J'ai peur. La mort est peut-être devenue une routine pour vous, mais à moi, ça ne m'est encore jamais arrivé. Pour moi, c'est un moment unique.   Vous parlez de ma jeunesse ; mais quand on est en train de mourir, on n'est plus tellement jeune. Il y en a des choses dont j'aimerais parler. Cela ne vous prendrait pas tellement plus de temps car, de toute façon, vous en passez pas mal avec moi.   Si nous pouvions seulement être honnêtes, admettre nos peurs, nous toucher mutuellement. Votre professionnalisme serait-il vraiment menacé si vous alliez jusqu'à pleurer avec moi ? Est-il vraiment exclu que nous communiquions vraiment pour qu'à l'heure où ce sera mon tour de mourir à l'hôpital, j'aie auprès de moi des amies ?

mercredi 9 octobre 2013

vendredi 6 septembre 2013

Pour faire des croquis



-- 
Pour faire des croquis


  • Deux feuilles de papier A4 pour photocopieur c'est un petit carnet de croquis, un crayon à papier et un stylo à bille ; ça tient facilement dans la poche.
  • Chaque fois que je dessine dans un lieu public que les gens me regardent, ça me déconcentre. Alors j'arrête de dessiner quelques minutes ; ils se lassent et ils m'oublient. Je peux reprendre mon croquis.
  • Je prends une photo avec mon téléphone portable pour capturer mon sujet au cas où je souhaiterais travailler un peu à la maison.

jeudi 4 juillet 2013

carnet de croquis





Autoportrait 6 x 7 cm sans soulever le crayon et sans gommer les erreurs.

Revenir en haut Aller en bas
Voir le profil de l'utilisateur http://carnets-de-croquis.blogspot.com/
Alt



Messages943
Date d'inscription26/04/2009
Age101
LocalisationProvence

MessageSujet: Sur mes carnets de croquis   Sam 29 Oct - 13:13





Revenir en haut Aller en bas
Voir le profil de l'utilisateur http://carnets-de-croquis.blogspot.com/
Alt



Messages943
Date d'inscription26/04/2009
Age101
LocalisationProvence

MessageSujet: Sur mes carnets de croquis   Sam 29 Oct - 13:43







Revenir en haut Aller en bas
Voir le profil de l'utilisateur http://carnets-de-croquis.blogspot.com/
Alt



Messages943
Date d'inscription26/04/2009
Age101
LocalisationProvence

MessageSujet: Re: Dessins aux trois crayons   Sam 29 Oct - 13:45